Collections tempérées

Au jardin botanique Jean-Marie Pelt, ce sont près de 12 000 espèces que l’on peut découvrir, dans un jardin de 35 hectares et 2500 m2 de serres tropicales. Plantes rares et menacées, plantes étonnantes ou insolites sont en culture dans l’un des plus grands jardins botaniques de France.
Un vrai musée vivant de la botanique !

Retour
en haut
de page

Jardin de l'évolution : avant les plantes à fleurs

ou l’histoire de la lignée verte

Cette collection, nichée dans un environnement de conifères originaux, présente l’évolution des végétaux avant l’apparition des plantes à fleurs.
Située près de l’entrée du jardin botanique, elle raconte l’histoire des plantes depuis la naissance de la vie sur terre, en montrant des groupes caractéristiques comme les characées, les mousses ou les fougères, ainsi que les cycas ou les Ginkgo biloba.

Pour découvrir l’histoire des plantes à fleurs, rendez-vous ensuite dans la deuxième partie « Jardin de l’évolution » au cœur du jardin botanique.

ou l’histoire de la lignée verte

Cette collection, nichée dans un environnement de conifères originaux, présente l’évolution des végétaux avant l’apparition des plantes à fleurs.
Située près de l’entrée du jardin botanique, elle raconte l’histoire des plantes depuis la naissance de la vie sur terre, en montrant des groupes caractéristiques comme les characées, les mousses ou les fougères, ainsi que les cycas ou les Ginkgo biloba.

Pour découvrir l’histoire des plantes à fleurs, rendez-vous ensuite dans la deuxième partie « Jardin de l’évolution » au cœur du jardin botanique.

Jardin au naturel

Pied de tomates © P.-F. Valck
— Lycopersicon sp. - Pied de tomates © P.-F. Valck

Cette zone présente différentes techniques de jardinage écologique : les paillages, la culture en lasagnes…. C'est le lieu privilégié des cours de jardinage et autres ateliers pédagogiques mais aussi le secteur où logent les « poules composteuses ».

Pied de tomates © P.-F. Valck
— Lycopersicon sp. - Pied de tomates © P.-F. Valck

Cette zone présente différentes techniques de jardinage écologique : les paillages, la culture en lasagnes…. C'est le lieu privilégié des cours de jardinage et autres ateliers pédagogiques mais aussi le secteur où logent les « poules composteuses ».

Histoire des plantes cultivées

Photo de la collection "histoire des plantes cultivées" © P.-F. Valck
— Histoire des plantes cultivées © P.-F. Valck

L'Histoire des plantes cultivées est une collection qui offre un aperçu :

  • des plantes cultivées par l'Homme, de l'époque néolithique (environ - 3 500 ans avant J.-C.) à nos jours. En effet, l'Homme exploite depuis toujours les ressources naturelles végétales pour répondre à ses multiples besoins : alimentation, médecine, constructions... Orge, lin, petit pois, persil, avoine, oignon, seigle, vesce, fève, pois, lentille, navet, carotte, panais, ail, échalote, absinthe, matricaire, tanaisie, asperge, mâche, mélisse, rhubarbe, poivron, tomate, pomme de terre, haricot, maïs, tournesol, courge... ne sont que quelques exemples de l’ensemble des espèces présentées.
  • des espèces adventices introduites à partir du XVIème siècle de façon accidentelle en même temps que d’autres plantes. Notons par exemple les amarantes américaines, l'érigéron du Canada, la balsamine géante ou les solidages. Certaines de ces plantes sont même affublées aujourd’hui de l’adjectif invasif, c’est-à-dire qu’elles se développent au détriment des plantes indigènes.
  • des plantes ornementales cultivées depuis le début du XVIème siècle. Elles sont regroupées chronologiquement suivant leur première utilisation ou introduction. Cette partie illustre l'intérêt grandissant porté à l'ornementation des jardins depuis la Renaissance.
Photo de la collection "histoire des plantes cultivées" © P.-F. Valck
— Histoire des plantes cultivées © P.-F. Valck

L'Histoire des plantes cultivées est une collection qui offre un aperçu :

  • des plantes cultivées par l'Homme, de l'époque néolithique (environ - 3 500 ans avant J.-C.) à nos jours. En effet, l'Homme exploite depuis toujours les ressources naturelles végétales pour répondre à ses multiples besoins : alimentation, médecine, constructions... Orge, lin, petit pois, persil, avoine, oignon, seigle, vesce, fève, pois, lentille, navet, carotte, panais, ail, échalote, absinthe, matricaire, tanaisie, asperge, mâche, mélisse, rhubarbe, poivron, tomate, pomme de terre, haricot, maïs, tournesol, courge... ne sont que quelques exemples de l’ensemble des espèces présentées.
  • des espèces adventices introduites à partir du XVIème siècle de façon accidentelle en même temps que d’autres plantes. Notons par exemple les amarantes américaines, l'érigéron du Canada, la balsamine géante ou les solidages. Certaines de ces plantes sont même affublées aujourd’hui de l’adjectif invasif, c’est-à-dire qu’elles se développent au détriment des plantes indigènes.
  • des plantes ornementales cultivées depuis le début du XVIème siècle. Elles sont regroupées chronologiquement suivant leur première utilisation ou introduction. Cette partie illustre l'intérêt grandissant porté à l'ornementation des jardins depuis la Renaissance.

Patrimoine horticole lorrain

Photo de Paeonia x delavayi 'Sang Lorrain' © P.-F. Valck - Lemoine 1939
— Paeonia x delavayi 'Sang Lorrain' - Lemoine 1939 © P.-F. Valck

La collection, consacrée aux obtentions horticoles lorraines, a pour ambition de rassembler les créations obtenues par les établissements horticoles lorrains entre le milieu du XIXème siècle et le milieu du XXème.

Un important travail bibliographique, de minutieuses recherches et de multiples contacts avec des professionnels (pépiniéristes, arboretums, jardins botaniques...) de France et du monde entier, font qu’un nombre important de lilas, de seringas, de deutzias, de weigelias, de pivoines et de fuchsias sont aujourd’hui en culture au Jardin botanique Jean-Marie Pelt.

Cette collection a obtenu le label de « Collection Nationale » décernée par le Conservatoire des collections Végétales Spécialisées.

Photo de Paeonia x delavayi 'Sang Lorrain' © P.-F. Valck - Lemoine 1939
— Paeonia x delavayi 'Sang Lorrain' - Lemoine 1939 © P.-F. Valck

La collection, consacrée aux obtentions horticoles lorraines, a pour ambition de rassembler les créations obtenues par les établissements horticoles lorrains entre le milieu du XIXème siècle et le milieu du XXème.

Un important travail bibliographique, de minutieuses recherches et de multiples contacts avec des professionnels (pépiniéristes, arboretums, jardins botaniques...) de France et du monde entier, font qu’un nombre important de lilas, de seringas, de deutzias, de weigelias, de pivoines et de fuchsias sont aujourd’hui en culture au Jardin botanique Jean-Marie Pelt.

Cette collection a obtenu le label de « Collection Nationale » décernée par le Conservatoire des collections Végétales Spécialisées.

Potager ornemental

Photo d'un chou © K. Astafieff
— Chou © K. Astafieff

Installé à l’extrémité de la collection dédiée à l'histoire des plantes cultivées, ce potager est à la fois :

  • didactique, grâce à la présentation des différentes plantes qui le composent, telles que des variétés anciennes peu connues du grand public,
  • mais aussi plaisant par les scènes originales qui sont renouvelées chaque année.
Photo d'un chou © K. Astafieff
— Chou © K. Astafieff

Installé à l’extrémité de la collection dédiée à l'histoire des plantes cultivées, ce potager est à la fois :

  • didactique, grâce à la présentation des différentes plantes qui le composent, telles que des variétés anciennes peu connues du grand public,
  • mais aussi plaisant par les scènes originales qui sont renouvelées chaque année.

Ecosystèmes lorrains

Photo du platelage qui traverse le secteur des écosystèmes lorrains © P.-F. Valck
— Platelage © P.-F. Valck

Connaissez-vous les richesses naturelles de votre région ? En partenariat avec le Parc naturel régional de Lorraine, avec le soutien de la Région Grand Est et de l’Union européenne, le Jardin botanique Jean-Marie Pelt vous propose un tour de Lorraine de la biodiversité en 9 étapes. À chacune d'entre elles, vous découvrirez un milieu naturel ou humain typique du Plateau lorrain (territoire limité à l’est par le massif vosgien et à l’ouest par l’Argonne), avec sa flore et sa faune particulières, mais aussi son histoire.

La présentation de ces écosystèmes reconstitués au sein du jardin botanique est une invitation à leur découverte « grandeur nature » au cœur des territoires du Parc naturel régional.

Photo du platelage qui traverse le secteur des écosystèmes lorrains © P.-F. Valck
— Platelage © P.-F. Valck

Connaissez-vous les richesses naturelles de votre région ? En partenariat avec le Parc naturel régional de Lorraine, avec le soutien de la Région Grand Est et de l’Union européenne, le Jardin botanique Jean-Marie Pelt vous propose un tour de Lorraine de la biodiversité en 9 étapes. À chacune d'entre elles, vous découvrirez un milieu naturel ou humain typique du Plateau lorrain (territoire limité à l’est par le massif vosgien et à l’ouest par l’Argonne), avec sa flore et sa faune particulières, mais aussi son histoire.

La présentation de ces écosystèmes reconstitués au sein du jardin botanique est une invitation à leur découverte « grandeur nature » au cœur des territoires du Parc naturel régional.

Alpinum

Photo de l'Alpinum et de la chapelle Sainte-Valérie © P.-F. Valck
— L'Alpinum et la chapelle Sainte-Valérie © P.-F. Valck

Avec plus de 1200 espèces, l’alpinum du Jardin botanique Jean-Marie Pelt est l’une des plus grandes collections françaises de plantes de montagnes cultivées en plaine.
Il se présente comme une succession de petites rocailles, consacrées chacune à une région montagneuse du globe.  Saxifrages, Edelweiss, Penstemons… font de cette collection un lieu unique.

Ce sont essentiellement des plantes de moyennes montagnes, vivant à des altitudes plus basses et sous un climat moins rude que les plantes alpines qui sont présentées. En effet, les conditions climatiques du Grand Nancy ne sont pas celles nécessaires à la survie des plantes de hautes montagnes. Aussi, pour compléter votre visite, rendez-vous au Jardin d'altitude du Haut Chitelet. Situé à plus de 1200 m d'altitude, il abrite plus de 2500 espèces de hautes montagnes.

Photo de l'Alpinum et de la chapelle Sainte-Valérie © P.-F. Valck
— L'Alpinum et la chapelle Sainte-Valérie © P.-F. Valck

Avec plus de 1200 espèces, l’alpinum du Jardin botanique Jean-Marie Pelt est l’une des plus grandes collections françaises de plantes de montagnes cultivées en plaine.
Il se présente comme une succession de petites rocailles, consacrées chacune à une région montagneuse du globe.  Saxifrages, Edelweiss, Penstemons… font de cette collection un lieu unique.

Ce sont essentiellement des plantes de moyennes montagnes, vivant à des altitudes plus basses et sous un climat moins rude que les plantes alpines qui sont présentées. En effet, les conditions climatiques du Grand Nancy ne sont pas celles nécessaires à la survie des plantes de hautes montagnes. Aussi, pour compléter votre visite, rendez-vous au Jardin d'altitude du Haut Chitelet. Situé à plus de 1200 m d'altitude, il abrite plus de 2500 espèces de hautes montagnes.

Verger conservatoire

Photo d'une branche de fruitier en fleur devant "la cîme" (microarchitecture en bois)
— La cîme, microarchitecture en bois © P.-F. Valck

Le verger conservatoire est situé derrière la chapelle Sainte-Valérie. Il est composé de 46 variétés de pommes anciennes, comme les vieilles variétés Lorraine (dont les origines départementales sont précisées sur les étiquettes), et d’autres qualifiées de méritantes, dont certaines bien connues telles la "reine des reinettes" et la "pomme d’api"…
Comme sur l’ensemble des collections, une gestion écologique y est pratiquée, aucun pesticide n’est utilisé.
 

Photo d'une branche de fruitier en fleur devant "la cîme" (microarchitecture en bois)
— La cîme, microarchitecture en bois © P.-F. Valck

Le verger conservatoire est situé derrière la chapelle Sainte-Valérie. Il est composé de 46 variétés de pommes anciennes, comme les vieilles variétés Lorraine (dont les origines départementales sont précisées sur les étiquettes), et d’autres qualifiées de méritantes, dont certaines bien connues telles la "reine des reinettes" et la "pomme d’api"…
Comme sur l’ensemble des collections, une gestion écologique y est pratiquée, aucun pesticide n’est utilisé.
 

Jardin de l'évolution : les plantes à fleurs

Ramificarré ou microarchitecture en bois, point de départ de la collection Jardin de l'évolution © P.-F. Valck
— Ramificarré, microarchitecture en bois, point de départ de la collection © P.-F. Valck

Le jardin de l'évolution, a pour vocation de mettre en évidence les liens de « parenté » entre les espèces végétales en proposant une classification des végétaux. Il constitue un « arbre généalogique » des plantes à fleurs.
Cette collection renouvelée entre 2018 et 2020, est basée sur le système proposé par l’Angiosperm Phylogeny Group en 2016, qui est le fruit d’un travail collaboratif de nombreux chercheurs internationaux.

Depuis le point de départ circulaire de la collection* partent des branches ramifiées schématisées par les allées. Elles permettent de découvrir et de suivre l'évolution et les modifications survenues au cours du temps chez les différents groupes de plantes. Des supports pédagogiques accompagnent la visite.

*situé au niveau de la microarchitecture baptisée Ramificarré qui offre une vue panoramique sur le jardin

Ramificarré ou microarchitecture en bois, point de départ de la collection Jardin de l'évolution © P.-F. Valck
— Ramificarré, microarchitecture en bois, point de départ de la collection © P.-F. Valck

Le jardin de l'évolution, a pour vocation de mettre en évidence les liens de « parenté » entre les espèces végétales en proposant une classification des végétaux. Il constitue un « arbre généalogique » des plantes à fleurs.
Cette collection renouvelée entre 2018 et 2020, est basée sur le système proposé par l’Angiosperm Phylogeny Group en 2016, qui est le fruit d’un travail collaboratif de nombreux chercheurs internationaux.

Depuis le point de départ circulaire de la collection* partent des branches ramifiées schématisées par les allées. Elles permettent de découvrir et de suivre l'évolution et les modifications survenues au cours du temps chez les différents groupes de plantes. Des supports pédagogiques accompagnent la visite.

*situé au niveau de la microarchitecture baptisée Ramificarré qui offre une vue panoramique sur le jardin

Arboretum

Photo d'un Viburnum farreri en fleurs © P.-F. Valck
— Viburnum farreri © P.-F. Valck

Un arboretum est une collection de plantes ligneuses, regroupant des arbres et des arbustes.

Celui du Jardin botanique Jean-Marie Pelt illustre la végétation forestière des régions tempérées par origine géographique, d’ouest en est, suivant la lecture d’un planisphère. Un immense arc de cercle débute au dessus de la roseraie avec des essences américaines, pour finir au niveau de l'alpinum avec des espèces asiatiques.

L’arboretum est bordé de prairies gérées en fauche tardive. Des sentiers sinueux tondus dans les hautes herbes guident et invitent les visiteurs à entrer dans cette collection.

Photo d'un Viburnum farreri en fleurs © P.-F. Valck
— Viburnum farreri © P.-F. Valck

Un arboretum est une collection de plantes ligneuses, regroupant des arbres et des arbustes.

Celui du Jardin botanique Jean-Marie Pelt illustre la végétation forestière des régions tempérées par origine géographique, d’ouest en est, suivant la lecture d’un planisphère. Un immense arc de cercle débute au dessus de la roseraie avec des essences américaines, pour finir au niveau de l'alpinum avec des espèces asiatiques.

L’arboretum est bordé de prairies gérées en fauche tardive. Des sentiers sinueux tondus dans les hautes herbes guident et invitent les visiteurs à entrer dans cette collection.

Vallon des rhododendrons

Photo d'un Rhododendron dauricum en fleurs© P.-F. Valck
— Rhododendron dauricum © P.-F. Valck

Ce vallon abrite des rhododendrons et autres végétaux tels que les fougères, hostas ou hortensias qui apprécient la fraîcheur des lieux.

À leurs côtés, des espèces rares ou originales de conifères comme les Cunninghamia ou le Picea chihuahuana du Mexique prennent place.

Photo d'un Rhododendron dauricum en fleurs© P.-F. Valck
— Rhododendron dauricum © P.-F. Valck

Ce vallon abrite des rhododendrons et autres végétaux tels que les fougères, hostas ou hortensias qui apprécient la fraîcheur des lieux.

À leurs côtés, des espèces rares ou originales de conifères comme les Cunninghamia ou le Picea chihuahuana du Mexique prennent place.

Forêt de bambous

Photo de bambous © P.-F. Valck
— La forêt de bambous et la microarchitecture Sténopé © P.-F. Valck

Cette collection du jardin botanique vous transporte en Asie, grâce à un parcours entre des plantes étonnantes, réputées pour leur croissance rapide. La « forêt » de bambous est en réalité une prairie plantée d’herbes géantes puisqu’il s’agit de Poacées ou Graminées, comme les céréales et autres « herbes ».

Si l’on trouve aussi de nombreuses espèces en Amérique et quelques-unes sur d’autres continents, le jardin botanique a choisi de présenter uniquement des bambous asiatiques, avec une collection de 28 taxons. Phyllostachys, Pleioblatus et autres genres ont initialement été plantés afin de tester la rusticité de certaines espèces. Cultivés au départ à proximité de l’entrée, les bambous ont été transplantés en 2010 dans un autre espace du jardin.

Photo de bambous © P.-F. Valck
— La forêt de bambous et la microarchitecture Sténopé © P.-F. Valck

Cette collection du jardin botanique vous transporte en Asie, grâce à un parcours entre des plantes étonnantes, réputées pour leur croissance rapide. La « forêt » de bambous est en réalité une prairie plantée d’herbes géantes puisqu’il s’agit de Poacées ou Graminées, comme les céréales et autres « herbes ».

Si l’on trouve aussi de nombreuses espèces en Amérique et quelques-unes sur d’autres continents, le jardin botanique a choisi de présenter uniquement des bambous asiatiques, avec une collection de 28 taxons. Phyllostachys, Pleioblatus et autres genres ont initialement été plantés afin de tester la rusticité de certaines espèces. Cultivés au départ à proximité de l’entrée, les bambous ont été transplantés en 2010 dans un autre espace du jardin.

Jardin des fleurs

Photo d'un Iris hybride cv. Lime Fizz © P.-F. Valck
— Iris hybride cv. Lime Fizz © P.-F. Valck

Au centre du Jardin botanique Jean-Marie Pelt, dahlias, iris et hémérocalles sont présentés alternativement en de longues plates-bandes, dessinant une palette aux couleurs changeantes en fonction des saisons. L’association de ces différentes plantes offre des floraisons de mai jusqu’aux premières gelées.
Les iris et les hémérocalles ne sont pas plantés au hasard… Ils sont disposés suivant l’ordre chronologique d’obtention : entre 1840 et 1995 pour les iris et entre 1939 et 1994 pour les hémérocalles.

Photo d'un Iris hybride cv. Lime Fizz © P.-F. Valck
— Iris hybride cv. Lime Fizz © P.-F. Valck

Au centre du Jardin botanique Jean-Marie Pelt, dahlias, iris et hémérocalles sont présentés alternativement en de longues plates-bandes, dessinant une palette aux couleurs changeantes en fonction des saisons. L’association de ces différentes plantes offre des floraisons de mai jusqu’aux premières gelées.
Les iris et les hémérocalles ne sont pas plantés au hasard… Ils sont disposés suivant l’ordre chronologique d’obtention : entre 1840 et 1995 pour les iris et entre 1939 et 1994 pour les hémérocalles.

Plantes médicinales

Photo de la collection des plantes médicinales © P.-F. Valck
— La collection des plantes médicinales © P.-F. Valck

Conçue au début des années 80 telle une palette de peintre, inspirée de Paul Klee ou Mondrian, la collection de plantes médicinales est réaménagée en 2007 après les travaux de thèse d'une étudiante en pharmacie.

Les plantes sont classées en fonction d'un gradient activité-toxicité : des plantes toxiques vers les plantes sources de molécules thérapeutiques, puis les plantes utilisées en phytothérapie.

Dans le secteur dédié aux plantes toxiques, des végétaux morphologiquement proches sont présentés côte à côte afin de mettre en évidence leurs différences. En effet, il est nécessaire de porter une attention particulière à la réelle identité des plantes pour ne pas confondre une plante toxique avec une plante qui ne l’est pas.

Flashez les QR codes et découvrez grâce à Smart Jardin les caractéristiques d'une centaine de plantes !

Photo de la collection des plantes médicinales © P.-F. Valck
— La collection des plantes médicinales © P.-F. Valck

Conçue au début des années 80 telle une palette de peintre, inspirée de Paul Klee ou Mondrian, la collection de plantes médicinales est réaménagée en 2007 après les travaux de thèse d'une étudiante en pharmacie.

Les plantes sont classées en fonction d'un gradient activité-toxicité : des plantes toxiques vers les plantes sources de molécules thérapeutiques, puis les plantes utilisées en phytothérapie.

Dans le secteur dédié aux plantes toxiques, des végétaux morphologiquement proches sont présentés côte à côte afin de mettre en évidence leurs différences. En effet, il est nécessaire de porter une attention particulière à la réelle identité des plantes pour ne pas confondre une plante toxique avec une plante qui ne l’est pas.

Flashez les QR codes et découvrez grâce à Smart Jardin les caractéristiques d'une centaine de plantes !

Jardin des roses

Photo d'un rosier en fleurs © P.-F. Valck
— Rosier du Jardin des roses © P.-F. Valck

Connue et utilisée pour l'ornementation des jardins depuis plusieurs millénaires, la rose est incontestablement une des fleurs les plus appréciées pour sa floraison et son parfum.
Le jardin des roses du jardin botanique Jean-Marie Pelt propose un éventail de variétés allant des rosiers les plus rustiques jusqu’aux cultivars contemporains.
Depuis quelques années, cette collection est agrémentée de plantes vivaces, comme des géraniums, achillées, hémérocalles ou iris qui hébergent de nombreux insectes auxiliaires de culture.

Photo d'un rosier en fleurs © P.-F. Valck
— Rosier du Jardin des roses © P.-F. Valck

Connue et utilisée pour l'ornementation des jardins depuis plusieurs millénaires, la rose est incontestablement une des fleurs les plus appréciées pour sa floraison et son parfum.
Le jardin des roses du jardin botanique Jean-Marie Pelt propose un éventail de variétés allant des rosiers les plus rustiques jusqu’aux cultivars contemporains.
Depuis quelques années, cette collection est agrémentée de plantes vivaces, comme des géraniums, achillées, hémérocalles ou iris qui hébergent de nombreux insectes auxiliaires de culture.

Prairie lorraine

Photo des moutons
— Les moutons

En Lorraine, la surface de prairies permanentes n’a cessé de se réduire au cours des dernières décennies, au profit de la mise en culture ou pour cause d’urbanisation.
Au Jardin botanique J.-M. Pelt, nous avons décidé de préserver le grand espace enherbé qui domine le jardin et de tenter d’en développer la biodiversité. Pour ce faire, une gestion extensive en prairie pâturée par des moutons y est appliquée.

Photo des moutons
— Les moutons

En Lorraine, la surface de prairies permanentes n’a cessé de se réduire au cours des dernières décennies, au profit de la mise en culture ou pour cause d’urbanisation.
Au Jardin botanique J.-M. Pelt, nous avons décidé de préserver le grand espace enherbé qui domine le jardin et de tenter d’en développer la biodiversité. Pour ce faire, une gestion extensive en prairie pâturée par des moutons y est appliquée.

Dune

Photo de la dune
— La dune

La dune reconstituée, loin de ses conditions naturelles, a pour ambition de présenter quelques-unes des espèces les plus caractéristiques de la végétation dunaire du littoral atlantique tels le chien-dent des sables (Agropyrum junceum), l'oyat (Ammophila arenaria), le panicaut de mer (Eryngium maritimum), le pavot des sables (Glaucium flavum), ou encore l'argousier (Hippophae rhamnoides).

Photo de la dune
— La dune

La dune reconstituée, loin de ses conditions naturelles, a pour ambition de présenter quelques-unes des espèces les plus caractéristiques de la végétation dunaire du littoral atlantique tels le chien-dent des sables (Agropyrum junceum), l'oyat (Ammophila arenaria), le panicaut de mer (Eryngium maritimum), le pavot des sables (Glaucium flavum), ou encore l'argousier (Hippophae rhamnoides).

Forêt lorraine

Photo du parcours dédié aux animaux de Lorraine © P.-F. Valck
— Parcours des animaux de Lorraine © P.-F. Valck

La forêt est l’un des milieux naturels les plus remarquables de Lorraine. Elle couvre environ 35 % du territoire. Cet écosystème est d’une grande richesse, tant par son bois que par sa faune et sa flore.
Le parcours forestier que vous allez emprunter vous fera découvrir quelques-unes des espèces rencontrées dans la forêt lorraine, et vous racontera son histoire, son évolution et son fonctionnement.

Tout au long du sentier, les visiteurs sont invités à découvrir la faune du Grand Est. Ce parcours a été réalisé avec le Parc naturel régional de Lorraine.

Photo du parcours dédié aux animaux de Lorraine © P.-F. Valck
— Parcours des animaux de Lorraine © P.-F. Valck

La forêt est l’un des milieux naturels les plus remarquables de Lorraine. Elle couvre environ 35 % du territoire. Cet écosystème est d’une grande richesse, tant par son bois que par sa faune et sa flore.
Le parcours forestier que vous allez emprunter vous fera découvrir quelques-unes des espèces rencontrées dans la forêt lorraine, et vous racontera son histoire, son évolution et son fonctionnement.

Tout au long du sentier, les visiteurs sont invités à découvrir la faune du Grand Est. Ce parcours a été réalisé avec le Parc naturel régional de Lorraine.

Agrumes

Photo des agrumes en extérieur © P.-F. Valck
— Les agrumes, à l'entrée du parc © P.-F. Valck

En été, 27 espèces d'agrumes telles les citronniers, orangers et autres mandariniers ornent la place pavée à l’entrée du jardin et le chemin menant aux serres.

Mais durant les mois d’hiver, ils sont à l’abri dans l'orangerie. Vers la fin de l’été et en automne, leur floraison diffuse un parfum entêtant qui ravit les sens. L’hiver, c’est la période de formation des fruits.

En dehors des végétaux très connus, comme le fameux bergamotier, le visiteur pourra s’étonner des fructifications originales des cumbava, kumquat ou main de Bouddha.

Photo des agrumes en extérieur © P.-F. Valck
— Les agrumes, à l'entrée du parc © P.-F. Valck

En été, 27 espèces d'agrumes telles les citronniers, orangers et autres mandariniers ornent la place pavée à l’entrée du jardin et le chemin menant aux serres.

Mais durant les mois d’hiver, ils sont à l’abri dans l'orangerie. Vers la fin de l’été et en automne, leur floraison diffuse un parfum entêtant qui ravit les sens. L’hiver, c’est la période de formation des fruits.

En dehors des végétaux très connus, comme le fameux bergamotier, le visiteur pourra s’étonner des fructifications originales des cumbava, kumquat ou main de Bouddha.