Collections tropicales

Au jardin botanique Jean-Marie Pelt, ce sont près de 12 000 espèces que l’on peut découvrir, dans un jardin de 35 hectares et 2500 m2 de serres tropicales. Plantes rares et menacées, plantes étonnantes ou insolites sont en culture dans l’un des plus grands jardins botaniques de France.

Un vrai musée vivant de la botanique !

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Le plan des serres tropicales

Palmarium et plantes menacées

Photo du Palmarium
— Le palmarium et les plantes menacées

Dans cette serre sont cultivées des espèces rares et menacées qui proviennent essentiellement des îles de l’océan indien : les Seychelles, îles Maurice, la Réunion ou les îles Rodrigues.

Dans l’imposante partie dédiée à la Réunion, trône un des derniers exemplaires de Saribus jeanneneyi, l’un des palmiers les plus rares du monde, mais aussi d'autres palmiers insolites, comme le Dypsis decaryi, surnommé le palmier triangle, le palmiste blanc Dictyosperma album, ou le palmier bouteille, Hyophorbe lagenicaulis.
Des raretés comme le bois d’ortie, Obetia ficifolia, ou l’Hibiscus liliflorus, disparu en nature, sont conservés.
Le visiteur s’étonnera aussi du feuillage de l’emblématique arbre du voyageur, des racines échasses des Pandanus et des impressionnantes fougères arborescentes originaires d’Australie.

Cette serre illustre bien le rôle essentiel du jardin botanique dans la préservation d’espèces en danger.

 

 

Photo du Palmarium
— Le palmarium et les plantes menacées

Dans cette serre sont cultivées des espèces rares et menacées qui proviennent essentiellement des îles de l’océan indien : les Seychelles, îles Maurice, la Réunion ou les îles Rodrigues.

Dans l’imposante partie dédiée à la Réunion, trône un des derniers exemplaires de Saribus jeanneneyi, l’un des palmiers les plus rares du monde, mais aussi d'autres palmiers insolites, comme le Dypsis decaryi, surnommé le palmier triangle, le palmiste blanc Dictyosperma album, ou le palmier bouteille, Hyophorbe lagenicaulis.
Des raretés comme le bois d’ortie, Obetia ficifolia, ou l’Hibiscus liliflorus, disparu en nature, sont conservés.
Le visiteur s’étonnera aussi du feuillage de l’emblématique arbre du voyageur, des racines échasses des Pandanus et des impressionnantes fougères arborescentes originaires d’Australie.

Cette serre illustre bien le rôle essentiel du jardin botanique dans la préservation d’espèces en danger.

 

 

Végétation des milieux arides

Photo de la serre consacrée à la végétation des milieux arides
— La végétation des milieux arides

Cette serre présente des végétaux qui ont su s’adapter à des conditions de vie extrêmes : manque d’eau, forte insolation, vents violents, grandes variations de températures. D’impressionnants cactus, de grandes euphorbes et d’autres plantes moins connues mais tout aussi spectaculaires ponctuent le parcours.

Photo de la serre consacrée à la végétation des milieux arides
— La végétation des milieux arides

Cette serre présente des végétaux qui ont su s’adapter à des conditions de vie extrêmes : manque d’eau, forte insolation, vents violents, grandes variations de températures. D’impressionnants cactus, de grandes euphorbes et d’autres plantes moins connues mais tout aussi spectaculaires ponctuent le parcours.

Forêt tropicale humide

Photo de la serre consacrée au sous bois des forêts tropicales humides
— Les sous bois des forêts tropicales humides

Bienvenue dans le sous-bois d’une forêt tropicale humide.
Végétation luxuriante, feuillages extravagants, lianes…, c’est une véritable jungle ! Dans cette serre la culture des arbres aux dimensions gigantesques est bien sûr impossible ; ils peuvent mesurer dans la nature 50 m de haut ! Par contre, l’étage inférieur des forêts tropicales, composé d’une végétation dense, de taille plus modeste, qui a su s’adapter au manque de lumière dû à la voûte forestière y est parfaitement représenté.

 

Photo de la serre consacrée au sous bois des forêts tropicales humides
— Les sous bois des forêts tropicales humides

Bienvenue dans le sous-bois d’une forêt tropicale humide.
Végétation luxuriante, feuillages extravagants, lianes…, c’est une véritable jungle ! Dans cette serre la culture des arbres aux dimensions gigantesques est bien sûr impossible ; ils peuvent mesurer dans la nature 50 m de haut ! Par contre, l’étage inférieur des forêts tropicales, composé d’une végétation dense, de taille plus modeste, qui a su s’adapter au manque de lumière dû à la voûte forestière y est parfaitement représenté.

 

Plantes utilisées par l'Homme

Photo de la serre des plantes cultivées par l'Homme avec un gros plan sur un régime de bananes
— Les plantes utilisées par l'Homme

La biodiversité végétale est indispensable à l’être humain pour se nourrir, se soigner, se vêtir...

Cette serre présente ainsi quelques espèces, choisies parmi les plus cultivées dans les régions tropicales pour leurs nombreuses utilisations : médicinales, cosmétiques, alimentaires; industrielles...

Photo de la serre des plantes cultivées par l'Homme avec un gros plan sur un régime de bananes
— Les plantes utilisées par l'Homme

La biodiversité végétale est indispensable à l’être humain pour se nourrir, se soigner, se vêtir...

Cette serre présente ainsi quelques espèces, choisies parmi les plus cultivées dans les régions tropicales pour leurs nombreuses utilisations : médicinales, cosmétiques, alimentaires; industrielles...

Plantes aquatiques et épiphytes

Photo de la serre des plantes aquatiques et épiphytes
— Les plantes aquatiques et épiphytes

Des végétaux flottants, aquatiques et semi-aquatiques illustrent dans cette serre la diversité d'adaptations des végétaux qui vivent dans l’eau, tels le nénuphar géant d’Amazonie (Victoria cruziana), les Rhizophora aux racines échasses ou encore les Avicennia.

Des espèces épiphytes telles les « filles de l’air » ou « barbes de vieillard » (Tillandsia usneoides), profitent de l’humidité atmosphérique.

Photo de la serre des plantes aquatiques et épiphytes
— Les plantes aquatiques et épiphytes

Des végétaux flottants, aquatiques et semi-aquatiques illustrent dans cette serre la diversité d'adaptations des végétaux qui vivent dans l’eau, tels le nénuphar géant d’Amazonie (Victoria cruziana), les Rhizophora aux racines échasses ou encore les Avicennia.

Des espèces épiphytes telles les « filles de l’air » ou « barbes de vieillard » (Tillandsia usneoides), profitent de l’humidité atmosphérique.

Galerie des lianes

Photo de la galerie des lianes © P.-F. Valck
— La galerie des lianes © P.-F. Valck

En forêt tropicale comme tempérée, la lumière est un enjeu majeur pour la survie des plantes. Si les arbres développent, grâce à leur tronc, une structure autoportée leur permettant de s'élever au dessus des autres, un grand nombre d'espèces sont capables de se hisser sur ces mêmes arbres sans avoir à dépenser trop de matière. Ces lianes, présentes sur toute la planète dans un grand nombre de familles végétales, sont issues de nombreuses évolutions différentes : tiges enroulées, feuilles transformées ou encore racines crampon. Tout leur est bon pour se hisser jusqu'à la canopée.

Photo de la galerie des lianes © P.-F. Valck
— La galerie des lianes © P.-F. Valck

En forêt tropicale comme tempérée, la lumière est un enjeu majeur pour la survie des plantes. Si les arbres développent, grâce à leur tronc, une structure autoportée leur permettant de s'élever au dessus des autres, un grand nombre d'espèces sont capables de se hisser sur ces mêmes arbres sans avoir à dépenser trop de matière. Ces lianes, présentes sur toute la planète dans un grand nombre de familles végétales, sont issues de nombreuses évolutions différentes : tiges enroulées, feuilles transformées ou encore racines crampon. Tout leur est bon pour se hisser jusqu'à la canopée.

Relations plantes et animaux

Photo de la serre consacrée aux relations entre les plantes et les animaux
— Plantes et animaux © P.-F. Valck

Les relations qui unissent les plantes et les animaux sont innombrables, et sont source d'une incroyable diversité grâce à la coévolution.

Découvrez-en quelques exemples spectaculaires dans cette serre unique en son genre : Nepenthes (plantes carnivores très spécialisées), plantes myrmécophiles (vivant avec les fourmis), ou encore plantes à réserve d'eau ou batifolent grenouilles et crabes... Mais aussi des plantes capables de se défendre contre les herbivores et d'autres qui exploitent les animaux pour la dispersion du pollen ou des graines !

Photo de la serre consacrée aux relations entre les plantes et les animaux
— Plantes et animaux © P.-F. Valck

Les relations qui unissent les plantes et les animaux sont innombrables, et sont source d'une incroyable diversité grâce à la coévolution.

Découvrez-en quelques exemples spectaculaires dans cette serre unique en son genre : Nepenthes (plantes carnivores très spécialisées), plantes myrmécophiles (vivant avec les fourmis), ou encore plantes à réserve d'eau ou batifolent grenouilles et crabes... Mais aussi des plantes capables de se défendre contre les herbivores et d'autres qui exploitent les animaux pour la dispersion du pollen ou des graines !

Plantes carnivores

Serre plantes carnivores / Tepuys du Vénézuela © JDecollogne / JBN
— Serre plantes carnivores / Tepuys du Vénézuela © JDecollogne / JBN

Le jardin botanique Jean-Marie Pelt conserve une grande collection de plantes carnivores, avec aujourd’hui plus de 650 espèces.
Il s’agit de l’une des plus grandes de France, également reconnue à l’échelle européenne.

Ces plantes fascinantes n’en finissent pas de nous surprendre. Elles alimentent les fantasmes les plus fous, ravissent les enfants et intriguent les plus grands grâce à leurs pièges actifs ou passifs.

La conception de cette serre se veut innovante : les plantes ne sont pas présentées seulement en tant que telles, mais à travers leurs habitats d’origine. 15 écosystèmes différents ont été recréés, du Fynbos d’Afrique du Sud aux Tepuys du Vénézuela, en passant par les falaises calcaires des montagnes mexicaines, tout en y intégrant la diversité des espèces végétales qui y prospèrent.

Serre plantes carnivores / Tepuys du Vénézuela © JDecollogne / JBN
— Serre plantes carnivores / Tepuys du Vénézuela © JDecollogne / JBN

Le jardin botanique Jean-Marie Pelt conserve une grande collection de plantes carnivores, avec aujourd’hui plus de 650 espèces.
Il s’agit de l’une des plus grandes de France, également reconnue à l’échelle européenne.

Ces plantes fascinantes n’en finissent pas de nous surprendre. Elles alimentent les fantasmes les plus fous, ravissent les enfants et intriguent les plus grands grâce à leurs pièges actifs ou passifs.

La conception de cette serre se veut innovante : les plantes ne sont pas présentées seulement en tant que telles, mais à travers leurs habitats d’origine. 15 écosystèmes différents ont été recréés, du Fynbos d’Afrique du Sud aux Tepuys du Vénézuela, en passant par les falaises calcaires des montagnes mexicaines, tout en y intégrant la diversité des espèces végétales qui y prospèrent.